Recyclage du papier en entreprise

Comment recycler le papier en entreprise en Suisse ? Salariés, managers : ne jetez plus vos archives, imprimés et autres feuilles au mauvais endroit et équipez-vous d’une poubelle de tri design et colorée. Participez vous aussi à l’effort global de recyclage au sein de vos bureaux !. A partir de 50 CHF/mois, faites participer votre entreprise à l’effort global de recyclage du papier au bureau !

Consommation du Papier

300 Millions

soit le nombre de tonnes de papier produites par an dans le monde

40%

soit le pourcentage de la déforestation au niveau mondial, représenté par le papier

80 KG

soit la quantité de déchets papier produite par un employé en Suisse, par an

87%

soit le pourcentage recyclé parmi ces 80 kg.

 

Recyclage papier à Lausanne, Genève et partout en suisse romande.

Des conteneurs de tri de 60L dans vos bureaux.

Recyclez et organisez votre tri sélectif simplement pour tous vos déchets au bureau à l’aide de poubelles de collecte colorées : feuilles, impressions, enveloppes, journal, revues, post-it, paperasse, copie, certificat, dossier, fiche, cartons, catalogues, annuaires, prospectus, avec ou sans agrafes. Impliquons dès maintenant salariés et entreprises suisse.

Poubelle Papier

  • Simple et coloré
  • Encombrement minimal
  • Bacs fabriquées en carton
    100% recyclé et 100% recyclable

Dimensions :
Hauteur 80 cm
Largeur 32 cm
Profondeur 23 cm

Contenance :
60L
Soit environ 15 kilos de papier / 3 000 feuilles

Poubelle Papiers Confidentiels

  • Mise sous scellé. Transport sécurisé et géolocalisé
  • Destruction et broyage des papiers
  • Recyclage des papiers en Suisse et remise d’un certificat de destruction et de recyclage,

Dimensions :
Hauteur 80 cm
Largeur 24 cm
Profondeur 40 cm

Contenance :
70L

Recycler ses papiers au bureau est une obligation pour les entreprises

En Suisse, le tri sélectif et le recyclage des déchets est obligatoire pour les entreprises

  • C’est bon pour l’environnement de recycler

Swiss Valorisation vous accompagnent à Genève, Lausanne et partout dans le Canton de Vaud (Renens, Aubonne, Vevey…) à chacune des étapes de la mise en place d’une société responsable : audit, estimation de vos besoins, installation des bacs, présentation à vos équipes, collecte des déchets recyclables, suivi mensuel, certificat annuel de recyclage répondant à vos obligations légales, etc.)

Quelles sont les étapes du recyclage de papier en entreprise ?

Tout comme le plastique, le recyclage du papier et du carton est un traitement qui altère peu à peu la qualité de la matière. Ainsi, bien qu’il soit possible de recycler le même matériau ou emballage à plusieurs reprises, on estime qu’une même fibre ne peut être réutilisée en moyenne qu’entre 5 et 7 fois afin de maintenir un certain niveau de qualité dans le processus de recyclage. Au-delà, d’autres traitements sont possibles tels que la valorisation biologique ou énergétique.

 

Recyclage papier : les principaux labels à connaître

L’éco-label européen, représenté par une fleur, est décerné aux papiers produits à partir de fibrilles recyclées, mais également aux pratiques de fabrication responsables. Le Cygne Blanc, également appelé Nordic Ecolabel, suit le même principe de respect de l’environnement.

Le label FSC RECYCLE, prouve plus spécifiquement que l’intégralité du papier a été fabriquée à partir de déchets transformés.

Le label FSC, accompagné du dessin d’un arbre, est apposé sur le papier fabriqué de manière responsable, avec des matériaux issus de forêts certifiées, dans le respect de l’environnement.

Le logo APUR, de l’Association des Producteurs et utilisateurs de papiers-cartons recyclés, représenté par une feuille d’arbre, garantit que le papier est fabriqué avec au moins 50% de fibres recyclées. Un chiffre accompagne le label, indiquant le pourcentage de fibrilles issues de la récupération.

Combien de temps dois-je conserver mes papiers

administratifs ?

  • Les documents recyclables relatifs aux conditions de travail des entreprises (Contrats, paie , régimes de retraite) : 5 ans.
  • Les documents bancaires : 5 ans.
  • Vieux comptes annuels et bilans : 10 ans.
  • Vieux contrats immobiliers : 30 ans.
  • Contrat d’assurance, quittance, courriers et autres contrats : 2 ans.
  • Contrat de location, état des lieux, quittances de loyer : 5 ans.
  • Titre de propriété : ne jamais jeter !
  • Factures de téléphonie / internet : 1 an.
  • Factures d’électricité, de gaz, d’eau : 5 ans.
  • Factures liées à des travaux : 10 ans.
  • Vieux contrat de location, état des lieux, quittances de loyer : 5 ans.

Pour plus d’information ici.  https://www.eda.admin.ch/aboutswitzerland/fr/home/umwelt/natur/recycling.html#:~:text=La%20moiti%C3%A9%20de%20ces%20d%C3%A9chets,est%20r%C3%A9gi%20par%20des%20r%C3%A8gles.

Besoin de plus d’informations ?

L’histoire de la valorisation du papier

Swiss Valorisation vous emmènent à la découverte de cette grande aventure.

Et ça commence fort, le premier « papier » était en effet… de la pierre ! Eh oui, le premier support d’écriture était constitué de pierres et de murs sur lesquels les hommes gravaient des dessins. Les Egyptiens ont ensuite inventé le papyrus, créé à partir d’un roseau des marécages du Nil. Le papyrus a peu à peu été remplacé par le parchemin, fabriqué à base de peau de veau et de chèvre. L’avantage du parchemin était sa résistance par rapport à la finesse du papyrus. De plus, il était possible d’écrire sur les deux faces de la feuille et les feuillets pouvaient être assemblés en cahiers puis en « codex », l’ancêtre du livre.

S’il est difficile d’avoir des certitudes sur la création elle-même, la légende dit qu’il a été créé en Chine en 105. Un haut fonctionnaire de la Cour Impériale, Cai Lun, décida de remplacer les supports d’écriture traditionnels comme le bambou et la soie par un mélange de fibrille de bambou, d’écorce de murier, de lin, de chanvre et de chiffons. Tous ces matériaux étaient pilés dans un mortier et immergés dans du liquide jusqu’au défibrement de la masse et l’obtention d’un amas homogène. Celle-ci était alors versée et étalée dans un moule.

Il faut attendre le VIIIème siècle pour qu’il apparaisse en Europe. C’est en Andalousie que l’on retrouve les premiers moulins à papier d’Europe. En Suisse, les premières archives écrites sur papier sont datées du XIIIème siècle. En 1445 l’invention de l’imprimerie accélère le développement de l’industrie papetière. Le papier est fabriqué à la main et les feuilles produites une à une, ce qui limite la quantité de feuilles fabriquées.

A la fin du XVIIIème siècle est créée la première machine, permettant de fabriquer 80 feuilles par jour, chacune d’une longueur de 6 mètres. Au XIXème siècle, les chiffons sont peu à peu remplacés par le bois. La cellulose, présente dans les cellules végétales, contient une substance blanche et fibreuse qui s’apparente chimiquement au coton des chiffons et l’abondance et le bas coût du bois en font le matériau idéal pour envisager une production de masse.

Tout cela n’est évidemment qu’un début par rapport à la conception actuelle. Et même si l’on voit parfois des fermetures de papeteries, les machines industrielles en usine sont aujourd’hui en capacité de produire plusieurs milliers de mètres à la minute, et 100 tonnes en bobine par jour. La bonne nouvelle c’est qu’elles intègrent une proportion de plus en plus importante de papiers recyclés. Ceux-ci sont issus de la récupération et du recyclage des papiers au bureau, dans les industries ou chez les particuliers, et permettent d’intégrer une proportion plus réduite de fibrilles végétales et ainsi de préserver les forêts et l’environnement.

Attention aux faux amis !

Il peut prendre de très nombreuses formes. Il est maintenant l’heure de prêter attention aux faux amis, pour enfin savoir lesquels sont (à l’image des emballages plastiques) recyclables ou non…

Dans votre corbeille de tri destinée aux papiers, vous pouvez jeter chaque document, vieux prospectus, billet, livre, bulletin, cahier ou encore journal et magazine. Ils se recyclent aisément.

Pour ce qui est du papier cadeau, photo, peint ou calque, ils doivent être jetés dans la poubelle ordinaire car certains additifs entrent dans leur composition, ce qui ne les rend pas recyclables. Un phénomène que l’on retrouve aussi avec le plastique et les différents emballages plastiques.

En effet lorsque ce panel est mis en place dans le bassin de pulpage en usine de traitement, qui transforme les fibres en pâte, les pellicules plastiques ou autres additifs ne se dissoudront pas correctement et cette pâte à papier ne sera pas de bonne facture. Les papiers et cartons souillés, gras ou ayant été en contact avec des aliments, ainsi que les serviettes en papier ne peuvent prendre place dans le bac à recycler. Ils sont à jeter avec les ordures ménagères, comme on le ferai avec un emballage sale. En effet, le gras empêche les particules d’être recollées ensemble lors du processus de recyclage. Les sacs en papiers propres se recyclent sans aucun problème.